Embarras ou quiproquo occasionné par le répondeur téléphonique, tel que le message écouté en présence d’une personne dont justement le correspondant dit le plus grand mal, ou bien encore le message qu’on laisse, puis qu’on regrette d’avoir laissé et qu’on voudrait annuler, si bien qu’on en laisse un second, censé annuler l’effet désastreux du précédent, mais qui le plus souvent nécessite à tour un troisième message d’éclaircissement, etc.